jeanmi, mon histoire

bonjour à toutes et à tous.

alors je me presente je suis jeanmi, je ne donnerai pas mon age mais j'ai prit l'épée il y a de nombreuses années.
mes parents m'ont laisse chez les elfes à l'age de 12 ans pour pouvoir aggrandir mes conaissances, en effet mon pere etait le gardien de la grande bibliotheque de stromgarde et je devais le remplacer à sa mort, ils perirent malheureusement tous deux en revenant me chercher, lors d'un abordage pirate, le navire fut pillé puis coulé.
je restais alors chez les elfes pendant 8 années apprenant le combat aux cotes de grands maitres d'armes elfes.
je me decidais à faire mon retour à strormgarde où je repris la place de mon pere au cote du mage Krazweck, je me mariais à 23 ans avec lutia la belle, une amie d'enfance, notre premier fils naquit un an plus tard et le deuxieme 4 an apres.
nous vecurent heureux tous ensemble, jusqu'a ce jour maudit.
une semaine avant le grand deferlement du fléau des nouvelles arrivaient du nord, les Mort vivant de Kel telhas étaient en chemin et marchaient droit sur nous.
nous avons établit nos defenses comme nous avons pu, mais nous avions plus de paysans que de guerriers dans nos rangs. les morts sont arrivés un mardi à l'aube, ce fut un massacre, hommes, femmes, enfants, ils ne firent aucunes differences, ma famille fut liquidé devant mes yeux avant qu'il ne me fasse passer pour mort. Je me reveillais deux mois plus tard dans la cathedrale de stromwind, les pretres et paladins soignaient mes nombreuses bléssures.
j'appris là bas que les corps de ma famille n'avait pas été retrouvés, pour avoir vu les morts, nos amis, se relever et se mettre à nous combattre je pris peur.
les paladins étant les premiers ennemis des morts vivants je rejoignis leur camps des que je fut en état de marcher.
je suis depuis ce jour toujours à la recherche de ma famille, car si ils sont devenus, comme je le supposes, des réprouvés ou pire encore serviteur de kel tehlas sous la coupe d'Arthas le traitre, ce sera mon role de les exorciser et de leur offrir le repos qu'ils meritent